7 janvier 2020 : Premier RDV avec le Ministère de la Transition écologique

 

Le contexte

Le 7 octobre 2019, insatisfaits des mesures prises par la loi d’orientation des mobilités (LOM), Agir pour le fluvial demande par courrier une audience à Jean-Baptiste Djebbari, ministre délégué chargé des Transports.

Nos interlocuteurs

  • Laure Ménétrier, conseillère en charge du transport maritime, fluvial et des nouvelles mobilités auprès du secrétaire d’état aux transports

  • Muriel Bouldouyre, adjointe au sous-directeur du bureau du transport fluvial Nicolas Trift.

A retenir de cet échange

Laure Ménétrier (LM) et Muriel Bouldouyre (MB) ne sont pas les bons interlocuteurs. L’interlocuteur pour l’infrastructure est la Direction des infrastructures de transport (DIT).
Nous leur répondons qu’infrastructure et transport sont indissociables, qu’on ne peut parler de l’un sans parler de l’autre.

Nous avons expliqué que régénération de l’infrastructure et développement du transport fluvial sont indissociables :

  • Sur le petit gabarit la régénération de l’infrastructure est une condition sine qua non pour relancer le trafic.

  • Nous demandons que soit fait une étude sur le réseau interbassin portant sur les flux de marchandises, le tissu économique desservi par le réseau et le potentiel de développement de nouveaux trafics.

Lire le mémo APLF sur l’insuffisance des crédits attribués par la LOM à la régénération du réseau

Agir pour le fluvial